La ménagerie de verre

Diane Vandermolina – La Revue Marseillaise du Théâtre

« Le spectacle présenté ici est indéniablement de qualité et montre avec vigueur et force la difficulté qu’ont les personnages à affronter une réalité en mouvement. En effet, nous sommes dans les années 50 et le monde est en pleine mutation (avènement de la société de consommation et changements de moeurs) : la femme doit alors travailler pour subvenir aux besoins d’une famille. Un très beau spectacle à découvrir ».

Jean-Claude Delalondre – Les Trois Coups

Fragiles, s’abstenir !

La pièce se déroule dans un appartement new-yorkais, oh pas celui de Woody Allen ou d’une étoile de cinéma, mais dans l’arrière d’un immeuble surpeuplé, desservi par l’escalier d’incendie. Sur le plateau, un loft modeste habité par la voix tonitruante d’Amanda, entrecoupée de musiques américaines s’échappant du tourne-disques, seul témoin du bien-être des fifties made in USA, et seul souvenir d’un père absent. Amanda, c’est la mère.

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